Etoile des Neiges Admin
Messages : 88 Date d'inscription : 11/02/2012
| Sujet: lhistoire du vie( a finir) Mar 14 Fév - 14:54 | |
| Je suis née un jour hiver, au milieu d'une nuit. Les arbres avaient déjà plein de neige. Je fut la troisième à sortir sur cinq chatons. La première était maigre et toute blanche, comme ma mère, mais elle ne survécu pas. Le deuxième était un garçon noir comme son père, mais il était déjà sans vie lorsqu' il sorti. J'était la troisième, mon pelage était gris et blanc, mes yeux azurs et des moustache retombait sur mon museau rose. Les derniers mourrurent tous. Il ne restait plus que moi. Ma mère était tellement contente que je sois en vie quel faisait tout pour moi. Elle me dit un jour :
- Ne sort pas de la tanière, c'est dangereux, dehors !
J'était enveloppée dans de la mousse toute douce et regardait la neige tomber. Ma mère revint quelque temps après, vint se rouler autour de moi et me murmura d'un ton suppliant :
- Reste là ! Je ne veux pas te perde ! S'il te plaît, reste en vie !
Je me mis à téter son bon lait chaud et je endormis pelotonnée contre ma mère. Elle ne dormit pas de la nuit de peur que je rejoigne le Clan des Etoiles durant son sommeil.
Des semaines plus tard, je me levai et, toute contente, je vis mon père pour la toute première fois. Il était grand et gris, ses yeux bleus se confondaient avec le ciel et ses muscles souples saillaient sous sa fourrure brillante. Tout à coup, j'entendis des cris. Ma mère allait encore accoucher. Ce fut un beau mâl blanc avec une tâche de gris sur une oreille. C'était mon frère ! Pourvu qu'il survive ! Clan des Etoiles, s'il vous plaît ! espérais-je. Par chance, une heure après, il fut debout sur ses quatre pattes, la vie palpitante faisait gofler son abdomen à un rythme régulier. Ma mère poussa un cri de triomphe. Je amusai avec mon frère jusquau soir. Que c'était étrange, cette petite boule de poils toute chaude et si minuscule ! Notre mère nous rapporta une sourie. Je commençai à lui lécher le cou et lui donna un petit coup de patte inofensif pour jouer. Elle bougea un peu pour se venger, mais comme j'avais trouvé un nouveau jeu très rigolo, je la réattaqua. Je lui donnai un grand coup de griffe, et, fière de mon agilité nouvelle, je lui plantai les croc dans le cou. Elle eut un dernier spasme, puis s'effondra. Comprenant ce que je venais de faire, ma vue se brouilla et les larmes me montérent aux yeux. Je venais de commettre un meutre ! Et celui de ma mère ! Dans un dernier souffle, elle me dit :
- Ne pleurs pas, mon chaton ... C'est ainsi qu'il faudra que tu chasse. Je suis ... rassurée de savoir que tu sauras te débrouiller seule. Prends soin de ton frère ... Je n'ai jamais été une bonne mère, j'ai laissé tes frères mourir ... Je suis désolée ...
- il ne faut pas pleurer ses rien plutôt ses biens tu la tuer ses comment sa qui faut chasser
je me rejuit vite jetait contente je le fit voir a mon frère qui fait la même chose.il était heure daller au dodo âpre un bons déjeuner et savoir amuser comme des fout dans la neige entre frère et seau r on s’endorme vite en boule cote a cote et notre mère qui vannait s’élonger a coter de nous et notre père qui surveiller l’entrée ...........suite dans un prochain jour
| |
|