Je caressai le pelage, doux, noir de mon chat, Déchue, quand un autre de mes chats, vint me lécher le bout des lèvres, je souris et regarda la pièce. Le repoussant un peu, je tâtai le drap à côté de moi, il était partit. Alors je sentis la solitude, mon petit ami était partie. J’entendis le bruit de mon portable qui vibra, je le pris et le porta à mon oreille, je lâchai d’un ton maussade qui résonna dans la pièce :
<< Oui ? Que me vaut ce réveil par un vibrement de portable ?
- Allo ? C’est Kim, tu as ton clip a enregistré, miss, Ashley Allen est attendu et figure toi qu’il est déjà midi !
- Quoi ? D’accord je vais me préparer. >>
Oui, j’étais une chanteuse connu, pourtant ma vie était médiocre, j’enlevai le peu d’habit que j’avais sur la peau, le laissant par terre, je pris une courte jupe en jean et un haut au dessus du nombril blanc avec un cœur en paillette grise dessus. Je mis des chaussures et sortit.
Mon taxi m’attendait déjà, j’entrai dedans, puis m’installa pour qu’on vienne me coiffer et me maquiller ce que je n’avais pas eu le temps de faire, ce maquilleur était vraiment mignon, je craquai toujours dessus, je le fixai dans les yeux, rougissant. Et puis il finit, pile au moment où le taxi arrivait. Je descendis machinalement, saluant mon manager, tout se passait bien et puis… On commença le clip, rien de bien passionnant comme d’habitude et c’est au bout de la cinquième prise qu’on réussit seulement à faire la partie de danse. Je n’étais vraiment pas réveillé et j’avais faim mes prises étaient horribles. A quinze heures, on me lâcha enfin, je dis au revoir à tout le monde et partit manger un sandwich toute seule … L’ennuie prit possession de mon corps.
Puis une main toucha à mon épaule, je me retournai, mon copain ! Je me pencha vers lui pour poser mes lèvres sur les siennes, mais il les évita et me lança :
<< Je ne peux plus vivre comme ça, désolé. >>
Je n’eu plus le temps de poser de questions, il couru, je le poursuivi, il passa sur une route, sans se faire écraser par contre pour moi… C’est comme ça que je mourus à seize ans , l’amour est une chose horrible de toute façon …L'amour avait voler mon corps , rien de bien ne petprendre notre corps c'est la logique de la vie. La logique est souvent illogique, ce qui est logique. L'illogique n'existe pas. Car l'illogique est la vie et la vie est normalement la logique. Le monde est fait d’embûches et de mots compliqués que les morts ne peuvent dire c'est pour ça que les morts sont sages. C'est pour ça que nous ne savons rien de la mort, les décédés ne veulent pas révéler leur secret, il est si important, les mots brisent et ressoudent des choses qui ne seront jamais totalement bouché.
Les embûches de la vie sont tellement compliqués qu'elles en deviennent facile avec le temps car nous ne connaissons pas vraiment la facilité, nous sommes dans le compliqué et dans l’illogique.
La mort me ronge depuis ma naissance, oui, car la vie est comme un bâton d’encens, quand on naît, on pose le feu dessus et c'est là que l'heure y est compté.. Maintenant tout le feu a fait de la fumée du bâton.